« Tu décideras que l’enfer est chez toi »

 

Ce qui étrange, c’est qu’à mesure qu’elle se rapprochait de l’heure présente, sa vie semblait échapper davantage à sa mémoire, elle devenait quelque chose de vague, une succession d’épisodes mornes, de références abstraites, quelque chose d’aussi mythique qui ne s’appliquait à elle que justement parce que sa vie ne comptait pas.

Maurice Blanchot : Le Très-Haut

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