Sa chance fut de ne pas devenir kitsch, plaie des
époques fatiguées, mais de s’évaporer. Il aurait pu mal tourner en virant au
pittoresque. La mort l’a fait échapper à ce qui n’aurait été qu’une
récupération spectaculaire, et finalement obscène, de son personnage.
Thomas Clerc : Maurice Sachs, le désoeuvré

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