Ce sont aussi
les diktats d’une sensualité exigeante qui le définirent comme « non
conformiste », lui qui, homme d’âge mûr, fut amoureux de la petite
Stechard d’à peine treize ans avec laquelle il vécut more uxorio,
jusqu’à ce qu’une courte maladie emportât l’enfant. C’est finalement encore
cette chair, en contre-pied des canons esthétiques généralement acceptées, qui
le poussèrent à s’opposer à toute forme de pensée ne pouvant rencontrer dans le
monde phénoménal une confirmation de validité, et avant tout la physiognomonie,
dont il fut l’un des plus farouches adversaires.
Préface au Couteau sans lame de G.C. Lichtenberg par Charles Le Blanc
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