CAL au pied !

 

En Wallonie, contrairement à la Flandre, on trouve des « Maisons de la Laïcité » dans toutes les communes ; ces « Maisons de la Laïcité », véritables siphons associatifs, organisent des « cérémonies laïques », qui ressemblent étrangement aux rites catholiques, communion, mariage, accompagnement des mourants, etc.

En Wallonie, la « laïcité » institutionnelle, notre religion régionale, dispose du budget d’un parti politique ; et c’est ainsi que la Cité-Miroir-mon-cul-sur-la-commode nous administre des « leçons d’histoire » très sélectives, aux frais de la princesse ; si vous pensez mal, la Cité-miroir-au-plafond peut même se porter partie civile auprès des tribunaux et vous condamner à un stage de rééducation. Et pourtant, malgré cette omniprésence « laïque » en Wallonie et à Bruxelles, bien plus intrusive qu’en France, l’islamisme n’a jamais été aussi répandu, et contamine même nos voisins.

Bizarre ? Pas tant que ça : en réalité, la laïcité à la belge n’est pas la séparation entre l’église et l’État — Quel État ? Quelle église ? — mais la caisse de résonance de l’Europe de Bruxelles. La laïcité belge poursuit bel et bien un programme politique, pro-migrants entre autres, mais elle refuse toute critique et vous menace de prison. Autrement dit : c’est un phénomène totalitaire. Vous ne me croyez pas ? Essayez de penser le contraire de ce que prétend incarner la laïcité. Comment penser le contraire de celui qui prétend représenter le « vivre-ensemble », la « tolérance », la « démocratie » ? Si vous osez, vous ne pouvez qu’être nazi ou fasciste ou une bête immonde et vous finirez dans un trou de mémoire.

En réalité, la laïcité à la belge ne représente aucun vivre-ensemble, aucune démocratie. Et pour cause… Pour qu’il y ait une démocratie, il faut un « démos », un peuple. Or, il n’y a pas de peuple belge (Jules Destrée) mais des Flamands, des Bruxellois et des Wallons, dont les intérêts divergent. Il y a une démocratie flamande, qui défend les intérêts des Flamands, tout comme il y a une démocratie bruxelloise, qui défend les intérêts de l'oligarchie parasitaire bruxellère, qui règne sur ce faux-pays depuis bientôt deux siècles. Mais il n’y a pas de démocratie wallonne parce que les Wallons n’existent pas, parce que les Wallons, éternels losers de l'histoire, ne sont pas reconnus en tant que peuple.

Si la Wallonie osait parler d’elle-même en tant que peuple, doté d’une identité, d’une histoire distincte, elle serait immédiatement laminée par les médias bruxellois et par leur cinquième colonne. On sait comment a fini le régionalisme… Dès lors, on connaît le programme. Il n'y a pas le choix. La Wallonie, c’est l’immigration. La Wallonie, c’est l’islamisation. La Wallonie, c’est la flamandisation des zones riches et la poubellification des zones pauvres. La Wallonie, c'est le mépris de classe et de race pour sa population autochtone, délibérément sous-éduquée, exploitée et droguée, réduite au stéréotype du barakî. Quant à la laïcité belge, elle n’est qu'un des faux-nez  successifs (syndicats, secteur associatif, socioculturel, etc.), dont se pare une seule et même politique génocidaire de déculturation.

Dernière chose : si la Wallonie est aussi laïque et braquée contre l’extrême droite, pourquoi est-elle aussi devenue plus royaliste que Degrelle ? Pourquoi plus personne n’ose-t-il parler de la Question royale, des morts de Grâce-Berleur, du sort des prisonniers de guerre wallons pendant la Seconde Guerre mondiale ? À l’inverse, pourquoi la Flandre peut-elle, en toute impunité, trouver des excuses à sa collaboration, à son colonialisme, à son racisme anti-wallon et entretenir des milices armées qui nous rendent des visites touristiques — Schild en Vrienden à Troispont — sans mobilisation antifasciste en Wallonie… sauf, bien sûr, quand il est question d’organiser un débat sur l’immigration avec Francken. Là, pas touche ! Fin de la libre-pensée !

Une chose est sûre : quand les ampoules de loges cesseront de se prendre pour des phares d’Alexandrie, on verra un peu plus clair.

Crève Belgique !

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