On se disait peut-être : il ne lui est rien
défendu, sa seule condition de prisonnier libre le fait souffrir. Il n’osera plus
rien écrire. Eh bien, non ! J’ai goûté de ce fruit défendu qu’est
l’écriture. Arrivera ce qui arrivera.
André de Richaud : La Nuit aveuglante
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