En Flandre, les candidats sur le marché du travail qui
sont considérés comme Wallons reçoivent moins de propositions d’entretiens
d’embauche auprès des patrons flamands. Même lorsqu’ils satisfont pleinement
aux exigences, les employeurs flamands leur présentent moins d’opportunités
qu’à leurs homologues flamands. Cette forme de discrimination sur le marché
du travail reste jusqu’ici largement ignorée (sic) Les signes visibles
d’origine wallonne, comme une école secondaire wallonne, ou une adresse
en Wallonie, provoquent le plus souvent une réponse négative.
Louise Devos : Doctorante, Université de Gand
Commentaires
Enregistrer un commentaire