« Il n’y avait jamais de relaxe »

 

Nous avons laissé Marc Dorcel en plein succès de ses romans photos, mais se débattant dans la jungle des règlements et des censures sur le livre. Pendant toutes ces années, il adopte un profil modeste : Nous étions contraints de vivre dans l’ombre. Briller, c’était se faire attraper. À mes yeux, la Mondaine, c’était la terreur. Quand ils débarquaient, cela me rappelait Eliot Ness, les cow-boys avec les colts. Un vrai rituel : convocation pour outrages aux bonnes mœurs au 36, quai des Orfèvres, audition, recherche d’un avocat, passage à la dix-septième chambre, sanction financière, et quelques mots de prison, avec sursis… il n’y avait jamais de relaxe.

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