Il n’avait
daigné être ni dessinateur industriel, ni employé, comme toute sa famille, de
la respectable Compagnie des chemins de Fer Paris-Orléans ; il se plaisait
à sa belle écriture et à ses arabesques d’enlumineur. Il aurait fait un bon
moine du treizième siècle, dessinant des lettrines pour de beaux manuscrits.
Mais il n’avait aucune aptitude à une carrière quelconque, et, ce qui était
pire encore, il était absolument indifférent à l’idée d’en avoir une.
Maurice Bardèche : Léon Bloy
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