Leur bonheur belge est notre malheur wallon

 

De ceux-là, il n’est plus entendu parler, ils ne laissent pas de trace, pas de carnet de route, ils n’ont pas de nom, anonymes dans la foule, anonymes parce qu’ils ne se distinguent pas, parce qu’ils sont entrés dans l’indistinct. Pourquoi cela ? Pourquoi cette démarche ? Pourquoi ce mouvement sans espoir vers ce qui est sans importance ?

Maurice Blanchot : L’Espace littéraire

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