Ce côté éternel de l’être, ce mouvement immuable de la
pensée, cette critique permanente des formes transitoires, ce coup de fouet
perpétuel qui empêche le monde conscient de se cristalliser et de s’endormir,
cet inconnu qui toujours doit s’ajouter au connu pour le compléter, cette
quatrième mesure sans laquelle les trois autres ne sauraient rendre compte
intégralement de l’univers, telle est ce que nous appelons, faute de mieux, la
quatrième dimension.
Gaston de Pawlowski : Voyage au pays de la quatrième dimension
Commentaires
Enregistrer un commentaire