Ainsi, après avoir rempli l’air de ses cris, l’espace
de ses inventions, les bibliothèques de ses spéculations et l’avenir de ses espoirs,
l’humanité disparut sans laisser plus de traces qu’un oiseau dans le noir.
Simplement, un jour, il n’y eut plus personne sur les routes du monde. Le
sceptre de la connaissance était passé de l’espèce humaine aux pattes de
l’espèce mouche.
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