« S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème »

 

L’homme de la pyramide veut ignorer les expériences radicales qui édifient le labyrinthe et qui lui appartiennent autant qu’à l’homme de l’abîme. Dégagé du complexe borgne de la vérité à tout prix, l’homme labyrinthique ne connaît plus de problème : le labyrinthe dissout le problème, se substitue au problème et, en tant que question, dévore le questionneur.

Angèle Kremer-Marietti

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