J’aime le carnaval comme inversion temporaire des rôles
et des valeurs, pour qu’ensuite la folie se termine et qu’on cesse de se
prendre pour ce qu’on n’est pas. Mais si le carnaval se prend au sérieux, la
loi devient folle et nous entrons dans le monde moebien et instable de la
tyrannie des bouffons, des Jokers qui rient mais qui feraient mieux de pleurer.
Dany Robert-Dufour
Commentaires
Enregistrer un commentaire