Là-bas, au Camp secondaire, il menait une existence
esseulée dans la plainte du vent qui, soufflant du pôle, hurlait telle une
meute de loups pendant son sommeil où resurgissait l’image indicible et
maléfique du monstre tel qu’il l’avait vu pour la toute première fois dans la
glace bleue, une hache en cuprobéryllium plantée dans le crâne.
John W. Campbell : Le Ciel est mort
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