Tout semble avoir commencé avec la récupération
mondiale de la révolte punk qu’aujourd’hui encore, une quarantaine d’années
après, les industries du luxe continuent d’exploiter, qu’il s’agisse du
vêtement, de la bijouterie, de la maroquinerie jusqu’aux marques de parfums,
qui ne manquent pas d’y recourir pour leur publicité. Avec une fixation sur les
signes de sa violence première qu’on ne cesse de lui dérober comme pour
empêcher que n’en renaisse quoi que ce soit de ressemblant…
Annie le Brun : Ce qui n’a pas de prix
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