« Je prends la fréquence d’agonie »

 

Il faudra mourir, que je lui dis encore, plus copieusement qu’un chien et on mettra mille minutes à crever et chaque minute sera neuve quand même et bordée d’assez d’angoisse pour vous faire oublier mille fois tout ce qu’on aurait pu avoir de plaisir à faire l’amour pendant mille ans auparavant

Ghül : Necromancer
Louis-Ferdinand Céline : Voyage au bout de la nuit

Commentaires