On éprouve une âpre volupté à s’avilir soi-même, à se
dégrader, à bafouer la classe à laquelle on appartient, à tourner en dérision
tout ce qui, jusqu’alors était respectable. Les Romains de la décadence se
ravalaient au niveau de ces histrions.
Julien Freund : La
Décadence
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