Sous chaque résultat et sous chaque projet, d’un
présent malheureux et ridicule, on voit s’inscrire le Mané, Thécel, Pharès,
qui annonce la chute immanquable de toutes les cités d’illusion. Les jours de
cette société sont comptés : ses raisons et ses mérites ont été pesés et
trouvés légers ; ses habitants se sont divisés en deux partis, dont l’un
veut qu’elle disparaisse.
Guy Debord : Commentaires sur la société du spectacle
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