Dans Comte Zéro, les Gothicks,
« Gothicks » dans le texte original, semblent avoir conservé en
grande partie l’esthétique post-punk de leurs ancêtres existant déjà dans les
années 1980 : « La majorité d’entre eux approchait l’idéal
gothik : grands, minces, musclés, mais avec une vague touche d’émaciation
crispée ; de jeunes athlètes au premier stade de l’épuisement. La pâleur
cadavérique était obligatoire et le cheveu noir par définition. Bobby savait
que mieux valait éviter les rares spécimens capables de conformer leur corps au
moule de cette subculture : rencontrer un petit Gothik, c’était des
ennuis, un gros Gothik, du suicide. » Comme beaucoup des bandes de ces
sous-cultures, ils ont leurs rivaux quasiment attitrés, leurs « ennemis
naturels » : les Koulos ou « Kasuals » dans la version
originale.
Yannick Rumpala : Cyberpunk’s not Dead
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