Un écrivain ne peut vivre de sa plume en Belgique. Pas
moins de 485 enquêtes ont été récoltées via un questionnaire ouvert sur
Internet de fin mai à fin juin 2021 qui porte sur les années 2014 à 2019. Depuis
les tirages ne cessent de baisser et les crises sanitaire et énergétique sont
passées par là. La situation ne fait qu’empirer. Autre source d’inquiétude, la
vitesse exponentielle à laquelle évoluent les technologies et l’intelligence
artificielle, susceptible d’écrire bientôt des romans ou autres fictions. « Je
dois aussi multiplier mes activités pour pouvoir vivre. » nous confie
Myriam Leroy.
Laurence Bertels
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