J’ai beaucoup écrit
sur la Décadence. Chaque fois, je l’abordai sous certains aspects. L’antiquité,
la bibliothèque, la maladie, le maquillage, l’androgyne, la décollation, la
pendaison et, bien sûr, ce que l’on désignait déjà, à l’époque, comme
« l’écriture. » Tout ce qui mettait en cause l’intégrité du Temps, de
l’Espace, du Corps, du Livre, du Texte.
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