Rozanov se voulait un écrivain « d’avant Gutenberg » :
il hait la prostitution du livre vendu, ou prêté dans les bibliothèques
publiques. Il veut des livres chers, rares, chastes, intimes, « comme la
semence humane. » Il ne s’inquiète pas de la difficulté de les
publier : sera-ce en trente tomes ou plus ? Il organise soigneusement
son livre en fonction du seul critère de la fidélité à ses humeurs.
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