Dès lors qu’il existe une nation flamande, que cette nation flamande — qui représente près de 60% de la population belge —, ne se ressent belge que conditionnellement et qu’elle monnaie son appartenance à l’entité belgicaine à coups de chantage séparatiste et de grasses subventions européennes, il n’y a plus de nation belge, pour autant que celle-ci ait jamais existé. Tous ceux qui se disent « nationalistes belges » ou « identitaires belges » ne sont que des escrocs qui espèrent surfer sur la vague de mayonnaise à quoi se résume leur soi-disant identité, pour obtenir une sinécure à Bruxelles.
La seule véritable question identitaire / ethnique
est : que sont les Wallons, pourquoi acceptent-ils de vivre dans un État
qui n’est pas le leur, qui les traite comme une population surnuméraire et
surtout, quel avenir nous reste-t-il à l’heure du grand remplacement voulu par
Bruxelles et les États-Unis ? Pour rappel : l’espérance de vie est
moindre en Wallonie qu’en Flandre, tout comme la vie y est beaucoup plus
difficile pour les classes défavorisées — prix de l’énergie, impôts, accès aux
soins — et c’est là une conséquence directe de la guerre ethnico-économique que
le gouvernement fédéral, majoritairement flamand, mène à la Wallonie, avec la
collaboration des politiques wallons néo-rexistes, tous plus royalistes et complaisants envers la Flandre que le gros Degrelle en personne.
Il ne s’agit aucunement d’une théorie du complot, mais
de faits qui sont de notoriété publique. Un exemple, parmi tant d’autres :
La Meuse de ce 23.09.09 — journal anti-wallon du groupe bruxello-flamand Rossel
— reconnaissait que les prix de l’énergie étaient beaucoup plus élevés en
Wallonie qu’en Flandre... et présentait tacitement la prostitution comme une solution pour les femmes qui n'arrivent pas à payer leurs factures ! Il fallait oser ! Il est clair que, dans un tel contexte, toutes les autres prétendues discriminations, en
particulier celles liées au genre, ne sont que des écrans de fumée du pouvoir belgicain.
Le seul racisme toléré, accepté et encouragé par le
système belge est le racisme anti-wallon… avec la collaboration passive ou
active des élites. Ainsi, quand le ministre PS Thomas Dermine se fait traiter
de « sale wallon puant » sur les réseaux sociaux par les Flamands, il
évoque piteusement un cas de « cyber-harcèlement » pour éviter de
reconnaître ce racisme. De telles insultes, proviennent systématiquement
du côté flamand, et sont appuyées en Flandre par des milices armées qui agissent
en toute impunité, avec la bienveillance des médias internationaux, qu’on
connaît pourtant plus prompts à la détente.
Inversement, en Wallonie, le moindre
discours critique ou sceptique sur l’immigration ou sur l’islamisation se voit immédiatement
poursuivi par la justice, le plus souvent sur ordre de syndicats véreux, d’une « laïcité »
dévoyée et d’une maçonnerie d'obédience bruxelloise, aussi ignare que corrompue. Persister à se dire
belge face à une telle menace existentielle, c’est se condamner à se taire et à
disparaître.
Ou à être complice.
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