L’épigraphe des Possédés, empruntée à Pouchkine, exprime
bien ce tourbillonnement dans un cercle vicieux, cet égarement insensé :
« Le démon nous entraîne à travers champs et nous fait tourner en
rond. » C’est de ce tournoiement désaxé dans le vide que vient
l’effroyable impression d’ombres chantant lugubrement dans les ténèbres,
poussées par une force irréelle et sans nom.
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