« La France, je la vis. J’ai une conscience
instinctive, profonde de la France. J’ai la passion de sa géographie » se vantait
François Mitterrand dans L’Abeille et l’Architecte (1978) On n’exige
plus de notre président qu’il soit un peu druide et qu’il parle aux arbres.
Pour fêter sa réélection, Macron songe-t-il à se recueillir sur le mont Beuvray
avec ses ministres et à célébrer l’union sacrée des tribus gauloises en
souvenir de Vercingétorix ? Ça m’étonnerait.
Frédéric Ferney : Des Messies pour des lanternes
Commentaires
Enregistrer un commentaire