Ce qui surgit sous notre regard, c’est un monde où tout
ce qui est précieux semble déjà engagé dans la destruction, où la force barbare
brise nécessairement les formes de la plus belle pensée et où, cependant, ce
néant à travers lequel s’abîme l’esprit laisse subsister, comme son émanation
la plus vraie, quelque chose que ni les métamorphoses, ni la mort ne peuvent
corrompre.
Alessandro Cortini : Scappa
Maurice Blanchot : Faux pas
Commentaires
Enregistrer un commentaire