Aujourd’hui, il réalisait qu’il s’agissait des prémices
d’une prise de conscience. Les Wallons n’avaient pas d’avenir parce qu’ils
n’avaient pas de passé et s’il ne voulait pas d’enfants, c’est parce qu’il les
trouvait tous bêtes, laids et vulgaires — d’abjectes victimes consentantes — et
qu’au fond de lui, il ne souhaitait qu’une seule chose : que cette horreur
belge s’arrête enfin.
GO : Kill Useless Nations
Frank Brecht : Magick Wallonie
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