Il y a des nuits et
des nuits, les nuits des tsars parfois sont plus terrifiantes que les nuits
d’un esclave, et combien ! Car la main de Dieu trouve la nuque du tsar
dans les ténèbres et la serre si fort que l’homme ploie les genoux et son âme
tremble ! La main de Dieu le met à genoux ! Son cœur, son âme, son
esprit ! Tout est à genoux ! Tout ! Quand ma femme, Anastasia,
ma femme malade, était déjà sur le parvis de la mort… j’étais à côté de son
corps, mais elle était déjà, ô combien loin, déjà bien devant les portes de la
mort et ces portes s’entrouvraient devant elles…
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