L’important n’est pas d’aimer, ni d’être aimé, encore moins d’être lu, mais d’être trouvé par qui il convient. Asteûr, je travaille sur une suite, un projet dont je vous dévoilerai les arcanes un par un. Bientôt, le prochain tirage. Si vous apercevez de la lumière à la guinguette, frappez trois coups, on écoutera Death In June et je vous évoquerai les années noires, quand tout était à inventer, quand je ne voyais pas le bout de ma vie. C’est si loin… À présent, il ne reste peut-être plus beaucoup de temps, d’où la question que vous vous posez : « Comment ai-je fait pour mettre autant de désordre dans une si petite vie ? » C’est comme une mélodie de carrousel, un miroir aux alouettes ou une chausse-trape qui claque, avec le nœud coulant bien sec : lorsque le voile tombe, vous croyez que tout est fini et le petit garçon déçu que vous étiez cueille la mandragore fraîchement éclose.
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