Il est un vers de Verlaine dont je ne me souviendrai
plus. Il est une rue toute proche déjà interdite à mes pas. Il est un miroir
qui m’a reflété pour la dernière fois. Il est une porte que j’ai refermée
jusqu’à la fin du monde. Parmi les livres de ma bibliothèque, que je vois en ce
moment, il en est un que je n’ouvrirai plus jamais. Cet été, j’aurai cinquante
ans.
La mort me dégrade, incessamment.
Commentaires
Enregistrer un commentaire