J’imagine qu’étant jeune, Philip K. Dick croyait qu’il
pourrait vivre grâce à l’écriture, qu’elle lui procurerait un moyen de
subsistance et une tribune pour exprimer ses idées, mais, à terme, il a fini
par comprendre et par accepter, qu’en réalité, il avait vécu pour l’écriture et
que si de la vie ou de l’écriture, l’une devait être sacrifiée, ce serait
toujours la seconde qui l’emporterait sur la première.
Tim Powers
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