Le Surhumain,
c’est le mouvement que fait le « chaos » que nous portons en
nous-mêmes pour aller au « chaos » dont surabonde l’Être en
lui-même : au temps de midi, quand tous les autres temps sont abolis,
l’ombre, qu’on tient en soi, ne fait signe ni arrière, ni vers l’avant.
Wenzel Hablik :
Coucher de soleil
Paul Mathias :
Préface à Ainsi parlait Zarathoustra
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