« Das Lied, das mir den Weg zeigt »

 

De même qu’aujourd’hui, par un soir d’automne brumeux, l’on perçoit les lumières de la rue, ourlées de couleurs, ainsi l’homme percevait-il autour des objets quelque chose comme des bordures colorées, des « auras » et c’était le signe que des entités spirituelles appartenaient aux choses. La perception de ces entités spirituelles était bien peu nette à certains moments de la journée, mais à d’autres, et particulièrement les états intermédiaires, entre la veille et le sommeil, elle était très précise.

Rudolf Steiner : Évangile de Jean

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