L’Apocalypse présuppose que les auditeurs sont déjà des
croyants. Elle n’entre pas dans le réseau de savoir objectif des choses, elle
n’est pas le dévoilement d’une loi physique durable, elle fait apparaître un
mystère et, comme le miracle, elle développe quelque chose qui reste mystère
même après s’être montré, mais il n’y a pas d’énigme, car le mystère échappe au
savoir objectif.
Jacques Ellul : Apocalypse, architecture en mouvement
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