Sous l’influence de ténébreux instincts, d’images
fantastiques, les peuples marchent comme des somnambules entre d’insolubles
antinomies. Ils se combattent les uns les autres sans rien s’expliquer à
eux-mêmes et plus de mille cinq cents ans après l’écroulement du monde romain,
ils en reviennent aux temps d’Alaric, transposés dans les mœurs de notre
siècle.
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